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LOS! N.75 - A L'ASSAUT DES PLAGES

Codice: 507003075

€ 11,00

DISPONIBILE META' SETTEMBRE 2024

Au sommaire du n°75 - Septembre/Octobre 2024

+ À l’assaut des plages

Les navires de débarquement alliés

Les opérations amphibies combinant des forces terrestres, navales et aériennes ne sont pas une nouveauté pour les armées de la Seconde Guerre mondiale, mais elles acquièrent à ce moment-là une dimension inégalée. Elles nécessitent une large gamme d’embarcations et de navires spécialement conçus, dont très peu existent déjà en 1939.

+ L’improbable U-Boot Typ XI

Croiseur sous-marin ou submersible porte-avions ?

Dans les années 1930, la marine allemande échafaude de nombreux programmes de construction navale dont beaucoup ne verront jamais le jour. Parmi eux, celui du U-Boot Typ XI est exemplaire de ce qui peut arriver lorsque ni les concepts stratégiques ni les technologies n’ont été suffisamment éprouvés au préalable.

+ L’évolution des mezzi d’assalto de la Regia Marina

(1911-1940)

Un homme seul contre un colosse d’acier, un duel aussi déséquilibré qu’inimaginable. Ou bien une poignée de marins, téméraires et déterminés, contre toute une flotte de guerre. Si des duels fantastiques existent, de David et Goliath à Saint-Georges contre le dragon, l’histoire navale est riche de faits d’armes asymétriques véritables, se concluant la plupart du temps par la défaite du plus « faible ». Pour autant, lorsque ces entreprises sont couronnées de succès, les conséquences ne résonnent jamais de façon stratégique, car ce n’est pas ainsi que l’on tient le pouvoir maritime. L’objectif des pages qui vont suivre est de proposer une analyse, non conventionnelle, des engins d’assaut de la Marine royale italienne, au-delà de la narration factuelle et bien connue de leurs exploits.

+ Tueurs de porte-avions !

Les tactiques soviétiques contre les Super-Carriers

La Seconde Guerre mondiale a démontré l’importance stratégique du porte-avions, aussi bien pour assurer la couverture aérienne d’un convoi que pour projeter au loin une force amphibie, bombarder des objectifs lointains ou affronter une escadre ennemie. Malgré tout, dans les années 1950, rares sont les puissances maritimes capables de concevoir des porte-avions suffisamment grands et puissants pour opérer des jets de combat. Très en retard dans le domaine naval, l’URSS préfère ainsi mettre l’accent sur les sous-marins. Durant la guerre froide, elle va toutefois devoir répondre à une question existentielle : en cas de conflit, comment couler les porte-avions ennemis avant qu’ils n’attaquent ?

+ Frégates !

La classe Amiral Gorchkov

Les premières unités polyvalentes lance-missiles font leur apparition dans les années 1950 sous la dénomination de frégates. De mieux en mieux armées et équipées, elles s’alourdissent et adoptent des formes furtives dans les années 1990. Au début du XXIe siècle, elles constituent le fer de lance des flottes modernes. Ces grands navires de surface sont parfois baptisés «destroyers», par exemple au Royaume-Uni et aux États-Unis, et sont alors un peu plus grands et lourds bien qu’ils soient conçus pour remplir des missions similaires. À chaque numéro, cette rubrique présente une classe de frégates actuellement en service.

+ Actualités

Une frégate danoise à la tête d’un groupe naval de l’OTAN en restant… à quai

Au moins deux sous-marins russes en mer d’Irlande depuis 2022

Un sous-marin portugais a effectué une patrouille « historique » sous la glace

Les Pays-Bas vont acheter quatre sous-marins auprès de Naval Group

La frégate iranienne IRIS Sahand a chaviré dans le port de Bandar Abbas

Lingua

FRANCESE

Illustrazioni

Riccamente illustrato

Misure

21 x 30

ISBN