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TNT N.81 - MEDIUM TANK M4A1 SHERMAN VERSUS PANZER IV AUSF.F2

Codice: 507013081

€ 10,00

Noto periodico francese dell’editore Caraktère ricco di interessanti articoli e abbondantemente illustrato con materiale iconografico anche inedito.

IN QUESTO NUMERO:

Panzer IV Ausf. F2 versus Medium Tank M4A1 Sherman

Duels dans les sables d’Afrique

Les chars moyens Panzer IV et le Medium Tank M4 Sherman forment l’ossature des divisions mécanisées allemandes et américaines. Et les deux engins partagent bien des similitudes avec leurs poids contenus, leurs moteurs fiables, leurs équipages de cinq hommes, leurs tourelles triplaces ou encore leurs armements (des pièces de 75 mm). Ces deux machines se rencontrent pour la première fois dans les sables africains à la fin de l’année 1942. Un choc initial qui marque les esprits des deux camps, car en 1942, il s’agit des blindés les plus puissants alignés par les Allemands et les Anglo-américains. En effet, lancé dans une course à l’armement avec le char moyen russe T-34, le Panzer IV Ausf. F2 est équipé d’un canon long de 7,5cm, ce qui lui procure une puissance de feu exceptionnelle. De son côté, le Sherman corrige les principaux problèmes du Medium Tank M3 Lee, à savoir l’absence de tourelle abritant le canon de 75 mm. Sur les terrains sablonneux d’Afrique du Nord, le « petit nouveau », dans sa version M4A1, va affronter un « vieux guerrier », qui a déjà à son actif des centaines de duels menés, depuis septembre 1939, sur tous les fronts où la Wehrmacht est déployée.

+ Les camouflages des Panther capturés sur le front de l’Est

Les Panther rouges

Dès 1943, les Soviétiques capturent des Panzer V Panther. Les victoires passant, de plus en plus d’engins allemands tombent aux mains de l’Armée rouge et certains sont retournés contre leurs anciens propriétaires après avoir été recouverts de camouflages ou de marquages spécifiques. D’autres pays d'Europe centrale et orientale récupèrent également des chars germaniques en état de marche, mais seuls les Polonais vont les utiliser au combat, les Panther roumains, bulgares et tchécoslovaques servant uniquement après-guerre. Il est à noter qu’encore aujourd’hui leurs camouflages ou marquages font toujours l'objet de controverses, car le nombre très limité de photos de bonne qualité empêche souvent de s’en faire une idée précise.

+ Canon de 75 mm modèle 1897 versus 7,7cm Feldkanone 96

Duel technologique

Le canon de 75 mm modèle 1897 est la pièce d’artillerie emblématique de la Première Guerre mondiale. Symbole de la technologie française avec son frein oléo pneumatique novateur et de la victoire avec sa robe bleue élégante, ou « gris artillerie », il surpasse largement dans l’imaginaire collectif le 7,7cm Feldkanone 96. Certes moins avancé techniquement que son homologue français, ce dernier a pourtant été l’épine dorsale de l’artillerie de campagne allemande au cours du conflit. Mais lequel était le plus efficace ?

+ 100 ans d’évolution de chars allemands

De l’A7V au Leopard 2A7

À quelques années près, les chars de combat fêtent leurs 100 ans d’existence, une période pendant laquelle ils n’ont cessé d’évoluer en fonction des technologies disponibles, mais aussi des tactiques ou des stratégies de leurs différents utilisateurs. Une épopée technique ponctuée de révolution, qui a marqué de son empreinte les champs de bataille, que cette nouvelle rubrique/dossier va régulièrement étudier au travers des matériels des pays qui ont largement investi dans ce type d'armement désormais indissociable de la grande majorité des conflits. Retour pour ce premier numéro sur les 100 ans d’histoire du char allemand, un parcours contrasté qui met en lumière un fil conducteur : un certain pragmatisme.

+ Camion KrAZ 255B

Le « Cannibale »

Durant la Guerre Froide, l’Ukraine fait partie intégrante de l’Union soviétique et met en avant sa puissante industrie militaire avec sa production de chars de combat, avec notamment la firme Morozov, mais aussi, son expertise dans le domaine des véhicules logistique. Deux entreprises géantes se distinguent alors : ZAZ (Zaporijskyï avtomobileboudivelnyï zavod, usine d'automobiles de Zaporojie) spécialisée dans les voitures, et KrAZ en charge des très gros engins avec le camion KrAZ‑255B répondant, entre autres, au doux surnom de « Cannibale » !

7,5cm Pak 40/4 auf Raupenschlepper Ost (RSO)

Le Rollender Sarg Ost

Pour faire face aux chars soviétiques bien protégés découverts, avec une certaine surprise, durant l’opération « Barbarossa » lancée en juin 1941, les unités antichars allemandes des Infanterie-Divisionen sont progressivement équipées de canons de plus en plus puissants capables de tirer des projectiles assez performants pour détruire les tanks T-34 et KV-1 à distances de sécurité. Toutefois, ces pièces sont de plus en plus lourdes et donc de moins en moins manœuvrables, ce qui occasionne en particulier de lourdes pertes en matériels et en personnel lors changements de position d’urgence. D’où la nécessité de mettre au point un petit chasseur de chars peu coûteux.

+ Le canon antichar ZiS 2 de 57 mm

Le tour de force qualitatif de l’industrie soviétique

Alors que la menace aérienne allemande a été correctement anticipée par l’état-major soviétique, celui-ci s’est montré davantage déstabilisé face à l’émergence des Panzer. Les blindés allemands, à la puissance estimée, entraînent le développement de pièces antichars à hautes performances, en premier lieu desquelles le 57 mm ZiS‑2 Obr. 1939. Avec l’offensive allemande de juin 1941, cette arme est en mesure d’afficher ses qualités. Rarement contredites, celles-ci sont d’abord considérées comme luxueuses, tant les premiers Panzer se révèlent fragiles. Une quinzaine de mois plus tard, le ZiS‑2 revient en force dans l’esprit des tacticiens soviétiques, en tant qu’équipement de choix face aux Tigre et Panther.

+ TR 85M1 « Bizonul »

Le bison des Carpates

Après l'invasion de la Tchécoslovaquie par le Pacte de Varsovie en 1968, la Roumanie adopte une nouvelle stratégie visant à « dissuader » ses puissants voisins de réitérer une telle opération. Et cela passe par le développement de divisions blindées correctement équipées. À cette date, les Forţele Armate Române (forces armées roumaines) s’appuient sur une flotte de T-55 qui commence à dater et Bucarest souhaite développer son propre Main Battle Tank (MBT) afin de ne plus dépendre de l’étranger pour ses équipements militaires.

+ Actualité du monde militaire

• Brèves d’actualités

• Le Leclerc rénové

• Musée de la bataille de Normandie de Bayeux

• Actualités des médias

• Des maquettes et des lecteurs :

• Le Tiger Weserhütte « bunker »

 

Lingua

FRANCESE

Illustrazioni

Riccamente illustrato

Misure

21 x 30

ISBN