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LIGNE DE FRONT N.83 - LE DERNIER CARRE

Codice: 507007083

€ 10,00

Bimestrale,ben illustrato, dedicato ai conflitti del 20° secolo.

IN QUESTO NUMERO:

+ Le dernier carré

Les volontaires étrangers SS dans l’enfer de Berlin

La bataille de Berlin est le point final de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Véritable « crépuscule des dieux », elle voit s’affronter l’hydre nazie contre l’ours soviétique déchaîné dans ce qui ne s’apparente plus qu’à une mise à mort. Emportée par un tourbillon de fer et de feu, la capitale du III. Reich à l’agonie est le théâtre de combats acharnés entre une Armée rouge toute puissante mais pressée par Staline d’en finir au plus vite et une Wehrmacht qui n’est plus que l’ombre d’elle-même. Dans cet enfer berlinois, des vétérans et de jeunes recrues de la Waffen-SS vont se dresser une ultime fois contre les forces soviétiques, sans aucun espoir de victoire, mais pour tenir leur serment de fidélité au Führer jusqu’à la dernière cartouche ou la dernière goutte de sang.

L’échec de l’artillerie française en 1940

Témoignages sur un fiasco

La terrible défaite de 1940 a fait l’objet de milliers d’articles et de livres. Tous les auteurs s’accordent sur les causes principales de ce revers majeur : faiblesse politique du pays, population pacifique, mauvaise organisation de l’armée, plan de guerre indigent, stratégie uniquement défensive, matériels insuffisants, mal adaptés et/ou mal employés, etc. Dans le cadre de toutes ces recherches, l’incapacité de l’aviation, tout comme la médiocrité globale de l’infanterie, reviennent systématiquement. En revanche, très peu nombreux sont ceux qui ont mis en cause l’artillerie. Or, c’est justement le sujet qui nous intéresse aujourd’hui.

+ Les K-Verbände de la Kriegsmarine

1944-1945 : les « combattants sacrifiés » 

En 1944, les premières campagnes des K-Verbände à Anzio et en Normandie n’ont guère été concluantes, les torpilles pilotées Neger et Marder ayant démontré à la fois leur inefficacité opérationnelle et leur manque de fiabilité technique. Le Biber semblait pouvoir remédier aux défauts constatés, mais son premier déploiement, écourté à Fécamp, s’est lui aussi révélé assez décevant. Toutefois, le Konteradmiral Hellmuth Heye et son état-major persistent jusqu’à la fin de la guerre à croire au bien-fondé de l’emploi au feu des  sous-marins de poche et des nageurs de combat pour harceler les flottes alliées et saboter les installations portuaires utilisées par l’ennemi. Leurs actions, désespérées, connaissent des fortunes diverses…

+ La bataille de Midway

Le tournant de la guerre du Pacifique

Concomitamment à l’invasion programmée de Midway, les forces japonaises occupent les îles Attu et Kiska dans l’archipel des Aléoutiennes (opération « AL ») à partir du 28 avril 1942. Cette opération s’inscrit dans un plan d’ensemble complexe, conçu par l’état-major de la Flotte Combinée dans le double but de sécuriser les atterrages Est du glacis défensif de l’archipel nippon, et d’assurer une diversion au profit de l’opération « MI ». À Midway, Yamamoto poursuit deux buts : occuper l’atoll situé à 1 100 nautiques dans le nord-ouest de Pearl Harbor, mais surtout détruire les derniers porte-avions opérationnels de la Pacific Fleet. Ce qui n’a pu être fait à Pearl Harbor doit être réalisé à Midway qui sera la bataille décisive. « MI » est avant tout un piège dans lequel doit tomber la Pacific Fleet quisera ensuite incapable de s’opposer à la poursuite de l’offensive. Les Américains, pense-t-on au Japon, devront alors négocier un arrêt des hostilités en position défavorable. Cette victoire tactique aura une portée stratégique.

+ La face cachée de Wernher von Braun

« Je veux atteindre les étoiles,… mais parfois je touche Londres ! »

Le rôle de Wernher von Braun dans la conquête de l’espace est unanimement reconnu. En revanche, ses activités au service du régime nazi restent un chapitre plus obscur et controversé de sa vie. Retour sur la carrière de ce scientifique au parcours des plus troubles.

+ Les chars Turán

Les autres blindés de l’Est

En dépit de son rapprochement politique progressif avec le III. Reich,le Royaume de Hongrie se tourne vers la Suède pour ses achats de matériels militaires. En effet, Berlin n’est pas totalement favorable à des transferts de technologie en direction d’un allié considéré comme peu sûr. Durant les années 1920, le développement des blindés hongrois est donc essentiellement basé sur l’achat de matériels étrangers pouvant être améliorés localement. La Magyar Honvédség s’enquiert alors des engins disponibles sur le marché international, relativement restreint. Son objectif est de récupérer la licence de production des modèles les plus adaptés.

+ Actualités

  • Entretien avec Max Schiavon : les carnets secrets du général Huntziger 1938-1941
  • Recensions

 

Lingua

FRANCESE

Illustrazioni

Riccamente illustrato

Misure

21 x 30

ISBN